Cap sur l’international #4 : Pierre Croze, d’Euridis à Boston, l’aventure américaine 🇺🇸

À seulement 25 ans, Pierre Croze a déjà franchi un cap que beaucoup rêvent d’atteindre : il vit aujourd’hui à Boston, où il travaille en tant que chargé d’affaires chez Teamwork, une entreprise internationale spécialisée dans le conseil et l’informatique. Un parcours construit avec de la curiosité et une bonne dose d’audace.

De Lyon à Boston : un parcours qui s’est dessiné pas à pas

Au départ, son projet international ne devait pas se passer comme ça. « J’étais censé partir en Erasmus en Flinlande, mais le Covid a tout annulé. Finalement, c’est via Euridis et mon entreprise d’alternance que j’ai pu construire un projet à long terme à l’étranger. »
Une preuve que parfois, les détours mènent aux plus belles destinations.

Euridis comme tremplin

Quand il évoque Euridis, Pierre parle d’un vrai tremplin :
« Sans Euridis, je n’aurais probablement jamais trouvé cette alternance-là. L’école m’a vraiment aidé à comprendre les codes du monde professionnel et à m’ouvrir à l’international. »

Il se souvient aussi des cours qui insistaient sur les soft skills : savoir s’adapter, écouter, créer du lien. « Ce sont ces qualités-là qui font la différence quand on travaille à l’étranger. Dans le métier de sales, le relationnel est clé, et Euridis m’a bien préparé à ça. »

Les défis d’une nouvelle vie

Partir à Boston, c’est excitant, mais pas sans défis. Pierre raconte avec humour ses premiers jours :
« Entre la langue, les démarches et les horaires, il faut s’adapter vite. Parler anglais en France et parler anglais ici, ce n’est pas la même chose ! »

Il se souvient notamment d’un dîner professionnel organisé à 17h30 :
« J’avais proposé 19h30, mais mon client m’a répondu qu’il serait déjà chez lui depuis trois heures… J’ai compris que les codes étaient un peu différents ! »

Ces ajustements du quotidien, il les vit aujourd’hui comme une richesse. « À force, tu t’imprègnes. Et c’est ce qui rend l’expérience incroyable. »

Oser, toujours

S’il devait donner un conseil à un étudiant qui rêve de partir à l’étranger, Pierre serait clair :
« Il faut oser. Tant qu’on n’essaie pas, on ne saura jamais. Même si ça fait peur, même si tout n’est pas parfait, ça vaut le coup. On apprend, on grandit, on devient plus fort. »

Cette mentalité, il la garde au quotidien. « Au pire, on se trompe. Mais on aura essayé, et ça, c’est déjà une réussite. »

En un mot : persévérance

Quand on lui demande de résumer son expérience, Pierre répond sans hésiter :
« Persévérance. Parce que c’est ça, le fil conducteur de mon parcours. J’ai appris à ne rien lâcher, même quand tout ne va pas comme prévu. Et aujourd’hui, je me dis que j’ai bien fait. »

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