Cap sur l’international #2 : Quentin Preuvot, alumni Euridis installé à Dublin 🍀
26 août 2025
Partir vivre et travailler à l’étranger après ses études, c’est un choix que de plus en plus d’alumni d’Euridis font. Pour poursuivre cette série de portraits, on part à la rencontre de Quentin, qui a posé ses valises à Dublin, en Irlande, après une carrière dans la fintech, le cloud et le développement commercial.
Une carrière internationale entre innovation, business et tech
Quentin Preuvot a 41 ans et vit aujourd’hui à Dublin. Avec plus de 15 ans d’expérience dans des groupes internationaux, il a évolué dans des domaines comme la fintech, la transformation cloud ou encore la stratégie de croissance. Il a notamment occupé le poste de Vice President Integrated Payments chez Fiserv, un acteur majeur dans le domaine du paiement.
Mais aujourd’hui, il a changé de rythme :
« Je consacre mon temps à accompagner de jeunes entrepreneurs en tant que Business Angel, et je travaille aussi sur la création de ma propre startup. Ça me permet de rester dans l’innovation, tout en partageant ce que j’ai appris. »
Le choix de l’international dès le départ
Son envie de partir travailler à l’étranger ne date pas d’hier :
« Juste après Euridis, je savais que si je voulais évoluer vite dans des entreprises internationales, il me fallait un bon niveau d’anglais. J’ai donc décidé de partir en Irlande et j’ai commencé chez VMware. Cette première expérience m’a ensuite permis de travailler à Paris, aux Pays-Bas, puis de revenir à Dublin. »
L’apport concret d’Euridis
Pour Quentin, la formation chez Euridis a été un vrai plus :
« L’alternance m’a donné une première vraie expérience pro, tout en étudiant. Grâce à ça, j’ai pu décrocher un poste à l’étranger assez rapidement et me faire une place. »
Cette combinaison de théorie et de pratique fait encore aujourd’hui la force d’Euridis, qui forme des profils très prisés sur le marché international.
Des débuts pas toujours simples
Comme beaucoup, Quentin a rencontré quelques obstacles à son arrivée à Dublin :
« Le plus compliqué, ça a été de trouver un logement, c’est beaucoup plus cher qu’en France. Et puis bien sûr, la langue au début… »
Mais il rassure aussi :
« Les démarches administratives ne sont pas si complexes une fois sur place. Il faut juste s’organiser pour obtenir son numéro fiscal et de sécu. »
Conseils pour celles et ceux qui se lancent
Avec le recul, Quentin partage quelques conseils utiles :
« Pratiquer l’anglais tous les jours, c’est le meilleur moyen de progresser. Pour le logement, commencer en coloc, c’est une bonne option. Et ne pas hésiter à contacter la communauté française sur place, elle peut vraiment aider. »
Un autre rapport au travail
Il remarque aussi quelques différences culturelles dans le monde professionnel :
« À l’étranger, les promotions sont souvent plus accessibles, à condition d’avoir des résultats. Il y a une vraie reconnaissance de la performance, c’estmotivant. »
Un mot aux étudiants qui hésitent
Pour celles et ceux qui se posent encore des questions :
« Je leur dirais de foncer. Quand on est jeune, on peut prendre des risques. Même si ça fait peur, sortir de sa zone de confort, c’est ce qui fait avancer le plus vite. »
Un petit fun fact ?
Un petit moment gênant au début de son aventure irlandaise :
« Premier jour dans une boîte à Dublin, je suis arrivé en faisant la bise comme en France… Visiblement, ce n’est pas la coutume ici ! J’ai eu quelques regards bien étonnés. »
Une aventure à vivre à fond
Pour résumer son parcours en une phrase, Quentin est clair :
« Foncez, n’ayez pas peur de l’inconnu. Chaque expérience à l’étranger vous fera grandir, personnellement comme professionnellement. »
Merci Quentin pour ce partage d’expérience et pour tout ce que tu vas inspirer et apporter aux étudiants !